Jusqu’en mai 2014 les femmes qui souhaitaient abandonner leurs enfants avaient deux possibilités : les « boîtes à bébés » ou l’accouchement anonyme possible dans « quelques hôpitaux qui proposent aux femmes enceintes, généralement en coopération avec des organisations privés, religieuses ou non, d’accoucher sous X. Ce dernier propose un accompagnement médical pour ces enfants ». Ces accouchements sont organisés par les différents organismes et maternités eux mêmes.
En Allemagne, il en existerait un peu plus d’une centaine d’établissements proposant ce système d’accouchement. Par contre, depuis 2012-2013, la femme ne peut plus refuser son identité. Alors que certaines entre elles ne veulent pas toujours la révéler. Cela entraine alors des problèmes juridiques.
Ces deux possibilités de « remise anonyme de l’enfant » ne font plus partie d’une « réglementation complète, claire et unifiée à l’échelle nationale », et sont notamment pour cette raison très contestés.
Un projet de loi a été élaboré en 2014. Un nouvel article 25 décrit la procédure d’accouchement confidentiel : si la femme se décide pour un tel accouchement, elle doit choisir un prénom et un nom de famille qui lui serviront de pseudonyme pendant le reste de la procédure, et un ou plusieurs féminins et masculins pour l’enfant.
Toutes ces lois n’ont d’autre but que d’éviter les infanticides et d’apporter une aide aux femmes enceintes désireuses de ne pas garder leur enfant. Toutefois, cela reste un problème personnel.